LE PEELING COSMÉTIQUE EN 3 POINTS CLÉS

Les nouvelles générations de peelings apportent de multiples bienfaits à la peau. 3 bonnes raisons de les intégrer dans votre offre de soins.

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Peeling : une action puissante

Le peeling cosmétique s’apparente à une exfoliation intense. En agissant chimiquement sur la cohésion cellulaire, il facilite le détachement des cellules de la couche cornée, favorisant une desquamation en profondeur. Le processus de renouvellement cellulaire est ainsi accéléré, laissant apparaître une « peau neuve ». Il possède aussi une action de stimulation du collagène et augmente la teneur en eau des tissus cutanés. Il est parfois dénommé « resurfaçant », en référence à la technique de resurfaçage laser.

Un protocole sécurisé

Le peelings chimique est le plus souvent formulé à base d’acide glycolique (extrait du sucre de canne) ou d’AHAs (acides de fruit), dont l’action kératolytique va « décoller « les cellules mortes et affaiblir les couches superficielles de la peau. L’application est précédée d’une phase de préparation visant à abaisser progressivement le pH cutané sans l’agresser et achevée par une étape de « neutralisation » des effets acides du produit. Le client peut ressentir de légers picotements pendant et après le traitement. Extrêmement respectueux de la peau, ce type de peeling reproduit la gestuelle du dermatologue pour un résultat performant, en toute sécurité. Il peut être utilisé dès la trentaine.

Une réponse experte

Longtemps réservés à l’usage médical, les peelings sont aujourd’hui largement implantés sur le marché cosmétique, même si les formules sont moins concentrées que celles utilisées par les dermatologues et les médecins esthétiques. Née aux États-Unis dans les années 2000 à la demande d’une clientèle aisée, cette nouvelle génération de soins séduit un nouveau public par son efficacité accrue, son confort (pas ou peu d’éviction sociale) et sa simplicité d’utilisation. Ils sont recommandés sous forme de cure, généralement de trois semaines à un mois, ce qui correspond à la durée moyenne du cycle de renouvellement cellulaire.

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